150 pages, un texte aéré, illustré de photos personnelles en noir et blanc, ni plus ni moins. Ses écrits d’avant, ses écrits du jour et ceux de Christophe Bataille, s’enchaînent au fil de la pensée.
Le détail côtoie l’énigme, dès les premières lignes. Les mots tombent sur la page, comme les notes organisent l’espace : du bruit et du silence à la fois. Un balancier : le mythe-une âme, l’oppression-le silence, le jour et la nuit, tout, rien, Tessa hier, Charlotte aujourd’hui. Ce prénom, son deuxième, qui l’a saisie, qu’elle a choisi.
Je prends, moi, la liberté d’intégrer l’actrice dans ma communauté de Charlotte. Je rêvais son interview bien avant de savoir son livre. Son livre, occasion rêvée, attrapée. Pas besoin d’interview. Je pense qu’elle mérite respect et paix. Je caresse pourtant encore et timidement le rêve luxueux, doux et lointain d’une tasse de thé, partagée sans aucun motif, juste idée de passer le temps, en compagnie aussi, de ‘Charlotte Watson*’.
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